La plus grande mine d’or d’Afrique, Kibali, a considérablement augmenté sa production au cours du dernier trimestre dans le cadre de sa montée en puissance prévue et est en bonne voie pour atteindre ses objectifs annuels. Dans le même temps, une exploration réussie devrait plus que remplacer les réserves épuisées par l’exploitation minière cette année encore.
En informant les médias ici aujourd’hui, le président et chef de la direction de Barrick, Mark Bristow, a déclaré que la mine de 10 ans déployait maintenant son plan d’affaires pour la prochaine décennie, garantissant son statut de l’un des portefeuilles d’élite de la société des mines de niveau 1 – celles capables de produire 500 000 onces ou plus d’or pendant au moins 10 ans à un coût inférieur à la moyenne de l’industrie.
La mine tire la majeure partie de son électricité de ses trois centrales hydroélectriques sur la rivière Kibali. Un parc solaire prévu de 16 MW, conçu pour soutenir l’hydroélectricité pendant la saison sèche de la République démocratique du Congo (RDC), devrait augmenter la contribution de l’énergie renouvelable au réseau énergétique de la mine de 79 % à 88 %, Kibali fonctionnant entièrement aux énergies renouvelables pendant la saison des pluies.
Bristow a déclaré que la création d’une mine de classe mondiale et d’une économie locale florissante dans l’une des régions les plus reculées et les moins développées de la RDC représentait un triomphe pour le partenariat réussi entre Barrick, le gouvernement du pays et ses communautés d’accueil.
«Nos parties prenantes en RDC ont énormément bénéficié de Kibali, qui au cours des 10 dernières années a apporté 4,6 milliards de dollars au pays sous forme de dividendes, redevances et taxes. Conformément à notre politique d’approvisionnement local, Kibali donne la préférence aux fournisseurs et entrepreneurs congolais, qui à ce jour ont reçu 2,5 milliards de dollars de la mine », a déclaré Bristow.
«L’engagement de Barrick envers la RDC ressort également du soutien important que nous avons apporté au Parc National de la Garamba, contribuant à la conservation d’une biodiversité de grande valeur. Plus récemment, nous avons mené la campagne de réintroduction des rhinocéros blancs dans le parc, où ils ont été vus pour la dernière fois il y a 13 ans. Le mois dernier, 16 de ces rhinocéros ont été introduits avec succès dans la Garamba et 60 autres devraient être livrés au cours des trois prochaines années.
Le programme Cahier des Charges de Kibali a lancé onze projets en 2023, dont sept devraient être achevés en juillet. La mine investit 8,9 millions de dollars dans cette initiative sur cinq ans. Le fonds de développement communautaire met également en œuvre un certain nombre de nouveaux projets.
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